Juricomptabilité et évaluation d'entreprise

Livres

Livre: Criminal Financial Investigation – The Use of Forensic Accounting Method of proof

fraudeCe livre, écrit par Gregory A. Pasco, explique les méthodes utilisées pour faire la preuve d’une fraude criminelle. La plupart du temps, la preuve directe est impossible donc, il faut utiliser des méthodes de recherche indirectes.

On y explique la théorie des méthodes indirectes ainsi que la méthodologie à suivre de façon détaillée. La méthode de l’avoir net et la méthode de l’analyse des relevés bancaires sont expliquées.

Finalement on mentionne, sommairement,  les techniques utilisées pour les  fraudes fiscales ainsi que les méthodes de détection.

C’est un livre de référence à avoir dans sa bibliothèque.

Évaluation d’entreprise et prévisions financières: “The Use of Management Projections for Valuations : A BVR Special Report”

Ce document regroupe les textes d’une conférence, ainsi que la jurisprudence américaine,  sur l’utilisation des prévisions et projections  financières de la direction lors de l’évaluation d’une entreprise. Une évaluation d’entreprise repose sur les prévisions ( ou projections) des flux monétaires lorqu’on utilise la méthode de l’actualisation des flux monétaires ( DCF –  Discounted Cash Flow ). Ce n’est pas à l’expert en évaluation d’entreprise de préparer des prévisions financières, il doit utiliser les prévisions  ( ou projections) disponibles qui sont fournies par la direction. Les prévisions financières sont  des variables les plus importantes dans l’évaluation d’une entreprise et il faut être conscient du principe “garbage in, garbage out”). Les études dans ce domaine démontrent que la direction des entreprises ont tendance à être des plus optimistes lorsque vient le temps de chercher du financement, de fusionner ou de vendre l’entreprise. L’ évaluateur doit être conscient du biais et des intérêts de la direction lorsque cette dernière soumet des données financières futures. Il est du rôle de l’expert d’avoir une  bonne dose de suspicion ,  d’ analyser ces données et de les ajuster pour éliminer les biais possibles car tout son travail se base sur ces données.

Les prévisions ou projections financières doivent être basées sur:

  • Les données historiques de l’entreprise;
  • Les données historiques des entreprises de la même industrie ou du même marché;
  • Analyse des prévisions et projections de l’entreprise mais aussi analyse des tendances du marché et des opinions des experts;
  • Étude de l’industrie et études de marché;
  • Données gouvernementales;
  • Habiletés de l’entreprise à rencontrer ses prévisions antérieures.

À mon avis, ce document est l’ outil de référence   lors de l’utilisation de prévisions ou projections financières. La lecture de la jurisprudence permet d’identifier les lacunes qu’un rapport d’évaluation peut avoir quant aux prévisions financières utilisées.

Dans les cas d’un nouveau produit, d’une nouvelle entreprise, de l’accès à un nouveau marché la prudence s’impose encore plus. L’incertitude est grande et il ne faut pas oublier que les sources des projections doivent être valides et les chiffres doivent être supportées. L’effort de corroboration des données doit être fait.

“The Use of Management Projections for Valuations : A BVR Special Report” , 2011 publié par Business Valuation Resource.

Référence: Financial Modeling with Oracle – Crystal Ball And Excel de John Charnes

Financial Modeling with Oracle est un livre  dont la seconde édition vient d’être publiée en 2012. aux editions Wiley Finance.

Crystal Ball est un complément ( add-on) , un logiciel qui se greffe à Excel et lui rajoute plein de fonctionnalités qu’il ne possède pas.

Crystal Ball rajoute des fonctions ou applications permettant de faire ( sans trop de sueurs) des simulations Monte Carlo, de la modélisation d’états financiers, de calcul du risque, etc.

Un logiciel qui permet de jongler avec l’incertitude et de répondre aux questions suivantes:

  • Que peut-il arriver?
  • Dans quelle mesure cela peut-il arriver?
  • Quelles sont les conséquences?
  • Que peut-on faire?
  • Quelles sont les options disponibles?
  • Quels sont les coûts, bénéfices et risques?

Comme je pense que les simulations Monte Carlo seront de plus en plus utilisées en évaluation d’entreprise dans un contexte d’incertitude, aussi bien avoir les bons outils. Un point toutefois à ne jamais oublier: “garbage in, garbage out”.

 

La modélisation financiaire et simulation avec Excel

Le livre de Hector Guerrero, Excel Data Analysis – Modeling and Simulation  ( 338 pages, éditeur Springer environ 60$ )  porte sur l’utilisation du logiciel Excel pour la modélisation et la simulation financière. Il donne la méthodologie à suivre pour l’ analyse des données, l’utilisation des tests statistiques, la programmation linéaire et la modélisation financière. La marche à suivre pour la modélisation y est indiquée ( de la préparation des données, la présentation, l’analyse ) et l’auteur explique les fonctions avancées d’Excel qui permettent de faire une simulation Monte Carlo ou d’analyser des données en utilisant les tableaux croisés dynamiques. Les explications sont claires et la méthodologie est facile à suivre car les  graphiques, les tableaux et les figures  sont nombreux. C’est un livre qui demande des connaissances avancées dans Excel.

Les points faibles:

  • il n’y a pas de DVD qui accompagne les exemples ni de référence à un site web complémentaire; ce que l’on retrouve maintenant dans la majorité des livres qui traitent de modélisation, de statistiques et de simulation Monte Carlo;
  • pas de glossaire;
  • pas d’index.

Voir aussi, Mastering Financial Modelling in Microsoft Excel d’Alastair Day. Ce livre traite du même sujet mais avec beaucoup plus d’exemples ( que l’ on retrouve dans le DVD)  telles que:

  • analyse de la performance;
  • analyse des flux monétaires;
  • analyse du point mort;
  • Analyse du risque;
  • évaluation des obligations;
  • évaluation d’une entreprise.

 

 

 

 

Référence: The Dark Side of Valuation – Valuying Young, Distressed, and Complex Businesses de Damodaran

The Dark Side of Valuation porte bien son nom: les aspects sombres de l’évaluation d’une entreprise ou les faiblesses des techniques utilisées en évaluation. Un excellent volume qui fait le tour pièges à éviter lors de l’évaluation des entreprises à plusieurs stades de leur vie qui sont la croissance, la maturité et le déclin.  On y introduit l’évaluation dans des situations d’incertitude en utilisant les arbres de décisions, l’analyse en utilisant la régression linéaire et les simulations Monte Carlo.

Les techniques y sont très bien expliquées, tout est clair et bien présenté. On comprend pourquoi Damodaran est classé dans les meilleurs profs de finance aux États-Unis. Ce livre de 588 pages est un incontournable en évaluation.

Damodaran a un site internet où il y met ses articles, ses notes de cours  en finance au MBA et des textes préliminaires de ses nouveaux livres. Un prof généreux qui utilise le web pour partager ses textes et ses applications excell en finance.  Sa mission:

I am lucky enough to be in a field where a little knowledge and a dose of common sense goes a long way, and achieving guru status seems relatively simple. What I do know is neither profound nor earth shattering, but I would like to share it on this site. In that pursuit, I have attempted to keep almost the entire site open and accessible, with the only shut-off portions representing powerpoint slides used by instructors (who use my books). Everything that I learn, do or write in the field of finance will be on this site sooner or later. I hope that you find the content useful and that you will share it with others. Good luck!

www.damodaran.com

 

 

 

Lu: L’usurpation d’identité ou l’art de la fraude sur les données personnelles de Guy de Felcourt

L’usurpation d’identité ou l’art de la fraude sur les données personnelles de Guy de Felcourt, CNRS Editions, 2011.

Un mot pour décrire ce livre: ÉTOURDISSANT de statistiques dont l’ampleur est quasi irréaliste. À lire.

Quelques données :

  • 350 milliards de spams en 2008
  • Seulement 10 à15 % de spams offrent  des produits et services
  • Facebook  en 2010 : plus d’un demi-milliard de profils
  • 150 000 ordinateurs contaminés par jour dont 10% sont transformés en ordinateurs manipulables à distance par un pirate.
  • Entre 2005 et 2008 aux États-Unis il y a eu 2 300 incidents de fuite et divulgation de données affectant les informations de plus de 700 millions de personnes. Par exemple, le vol d’une base de données de plus de 3 millions d’étudiants en 2010 et en 2011, les fuites de données d’une centaine de millions de comptes clients de jeux en ligne de Sony
  • En 2007, 250 milliards d’opérations de virements, prélèvements bancaires, cartes pour des paiements non liquides.

 Ce livre montre la mondialisation et l’abolition des frontières de l’information numérique accessible de partout et qui rend nos données personnelles disponibles à partir d’un cellulaire pour faire des achats. Nos données sont en quelquepart sur le nuage de serveurs “cloud”, accessibles de partout. Elles ne nous appartiennent plus et nous ne maîtrisons plus l’utilisation qui en est faite.

 On y parle de la transformation de la profession de pirate informatique en un supermarché de la fraude : il y a ceux qui construisent les programmes, ceux qui les proposent sur internet, ceux qui interceptent les données et ceux qui exploitent les données. Il n’est même plus nécessaire d’engager un détective privé pour surveiller un conjoint ou un enfant, on peut tous devenir des James Bond . Il est possible d’acheter des gadgets sur internet qui intercepte les communications, obtenir une copie des messages textes, transformer un téléphone cellulaire en micro.

Il est très facile d’obtenir des données sur des individus pour usurper leur identité et ainsi, vider leur compte bancaire, emprunter, faire des achats sur leur carte de crédit.  Les conséquences pour la victime sont multiples : pertes financières, altération de la réputation, perte de temps importante et un coût émotionnel non négligeable.

Dans la dernière partie du livre, l’auteur donne les pistes de solutions pour lutter contre la cybercriminalité : des fichiers filtres de protection et d’alertes, des plateformes de signalement, des fichiers d’incidents , sécuriser les systèmes d’information, légiférer sur la sécurité des données et de l’identité,  coopération internationale, éduquer et informer les consommateurs. Des solutions qui ne se feront pas en une journée pendant que des millions de fuite de données se font par jour.

 

 

Lu: La grande fraude – Crime, subprimes et crises financières de Jean-Françcois Gayraud

La grande fraude  – Crime, Subprimes et crises financières de Jean-Françcois Gayraud , Odile Jacob, 2011.

L’auteur est docteur en droit et propose son explication sur la crise financière. L’explication économique et financière est que des forces abstraites impersonnelles , des cataclysmes genre catastrophe naturelle. Les gens de Wall Street sont donc des victimes d’un tsunami que rien n’aurait pu prévenir. La question à se poser: quelle est la part de responsabilité de l’homme. Pour l’auteur la crise trouve sa racine dans le dysfonctionnement des institutions de surveillance et de contrôle qui sont des choix politiques. Il cite T. Veblen , un économiste et sociologue du début du 20 ième siècle qui affirme que l’économie est traversée par 2 instincts: l’instinct artisan et l’instinct de proie. L’homme de travail est paisible par nature mais l’homme de proie est en compétition, il est agressif et tente constamment d’écraser par sa supériorité. Le prédateur s’enrichit sur par la dépossession des autres et par la manipulation. On retrouve l’instinct prédateur chez les hommes politiques, les sportifs, les financiers et spéculateurs. Ils représentent l’élite.

Il cite aussi un philosophe Gilles Chatelet qui a écrit en 1998 le livre “Vivre et penser comme des porcs” et que pour les financiers , l’homme moyen est le paysan d’autrefois qui devait payer le seigneur par son travail.

Le financement des campagnes pour les élections a un effet corrupteur et rendent les politiciens redevables aux donateurs en premier lieu et en second lieu aux électeurs. Nous sommes dans un environnement criminogène qui se résume en 3 mots: dérégulation, désupervision et déminicralisation. Les 3 “D”.

Je termine par une citation de B.J. Stein que l’on retrouve dans le livre:

Comme devrait le savoir toute personne qui a gagné sa vie dans les affaires, quand les flics restent à la maison pour regarder la télévision, les criminels deviennent incontrôlables. Même les hommes qui, à l’origine, ne sont pas tentés de devenir des criminels le deviennent. Adam Smith le savait quand il disait que, laissés sans contrôles les hommes d’affaires conspireront toujours contre le bien public en s’entendant sur les prix. Joseph Kennedy le savait quand il fut premier patron de la SEC. John Kennedy le savait quand il disait que tous les hommes d’affaires étaient des fils de putes.

Un excellent livre, qui se lit comme un roman et écrit d’une façon très imagée.

Lu: Slaying Excel Dragons

Slaying Excel Dragons  de Mike Girvin ( Holy Macro! Books, 22$) est un livre d’ apprentissage du logiciel Excel.

Dans le domaine de la jurcomptabilité ou de l’évaluation d’entreprise et tout ce qui touche la finance, le logiciel Excel est un incontournable. Cependant, il faut bien connaître ce logiciel pour l’utiliser de façon efficace pour minimiser les pertes de temps.

Le livre donne des trucs et la façon d’utiliser Excel. Toute personne qui travaille avec des “chiffres financiers” doit être un expert en Excel. Le seul point négatif est la mauvaise mise en page du livre.

L’auteur ,a de plus, téléchargé des centaines de videos sur Youtube. Ils sont faciles à suivre et à comprendre. Si vous avez un problème avec Excel, faites une recherche sur Youtube!

Référence en juricomptabilité: Financial Investigation and Forensic Accounting

Financial Investigation  and Forenic Accounting de Manning est à sa 3e édition en 2010 ( 120$) et est un ouvrage de référence en juricomptabilité de 750 pages.

L’auteur explique les techniques de blanchiment d’argent, les paradis fiscaux, le crime organisé et élabore la façon de calculer l’avoir net ( pour fins fiscales ou autre) et la méthode d’estimation des dépenses de coût de vie. À ma connaissance c’est un des rares volumes à le faire de façon aussi détaillée  et en donnant des études de cas . Il y a environ 100 pages sur ces techniques.

Environ 150 pages d’explications sur toutes les  fraudes imaginables ; celles contre le consommateur et celles contre les entreprises. Par exemple , il explique les fraudes au niveau des diplômes, entreprises de nettoyage après un désastre, vente de terrain, modification de l’odomètre, investissement dans les métaux, vente de faux abris fiscaux, loterie, voyages…etc. Une section sur ce que doit contenir le rapport du juricomptable,  le système judiciaire américain, les saisies, les fraudes informatiques. Il y a un très bon chapitre sur l’altération d’un document par toutes les techniques possibles.

En conclusion, c’est un excellent ouvrage pour tout ce qui touche la juricomptabilité sauf le travail de détection qui fait environ 20 pages. Les volumes détaillant le travail à faire  sur le terrain, quand un juricomptable arrive dans une firme sont très très rares. Un outil de référence à avoir dans sa bibliothèque.

Logiciel utilisé en juricomptabilité: Visio de Microsoft

Visio est un logiciel  utile en  juricomptabilité. Il s’intègre aux logiciels de Microsoft Office et son  coût est d’ environ 400$ dans sa version professionnelle initiale. La version premium coûte près de 900$. J’ utilise présentement la version 2007  que je vais mettre à jour cette année pour avoir la même interface que MS Office 2010.

Ce logiciel est surtout utilisé en juricomptabilité  pour créer des organigrammes, graphiques d’acheminement, diagramme de gant pour le suivi et les étapes du projet. On peut représenter graphiquement le contrôle interne d’une entreprise. Quand on présente un rapport qui est lu par des personnes non expertes dans le domaine, des représentations graphiques des concepts sont  toujours appréciées. “Une image vaut mille mots”.

Pour savoir en détail ce que fait Visio 2010, voir le site de Microsoft en cliquant sur le lien.

Un livre “Step by Step” ( avec beaucoup d’images de capture des écrans) est utile pour faire son apprentissage avec le logiciel.

Lu: Preventing and Detecting Employee Theft and Embezzlement

Preventing and Detecting Employee Theft and Embezzlement de Stephen Pedneault, 2010. 309 pages. Environ 52$.

Un livre intéressant pour un propriétaire d’une PME. Toutes les techniques de vol et de fraude par les employés y sont énumérées et expliquées clairement.

Le lecteur retrouve aussi les façons de mettre des contrôles pour prévenir la fraude. C’est clair, précis et très pratique. Beaucoup d’exemples illustrent ses propos.

Lu: Anatomy of a Fraud Investigation de Stephen Pedneault

Anatomy of a Fraud Investigation de Stephen Pedneault, 2010. 194 pages . Environ 38$.

Le livre décrit et explique toute la démarche, dans les détails, d’une enquête juricomptable pour fraude.

C’est un ouvrage excellent pour quelqu’un qui désire savoir comment une enquête se fait et le travail que ça implique. Facile à lire, l’auteur explique chacune des étapes, le pourquoi, comment, les implications.

Ce qui est intéressant, c’est l’histoire d’une enquête d’une fraude non pas du point de vue d’un témoin mais, de celui qui est contacté pour détecter la fraude et avoir la preuve pour supporter une poursuite et une réclamation pour les assurances.

Lu: Expert Fraud Investigation Handbook de Tarcy Coenen

Expert Fraud Investigation Handbook a Step by Step Guide  de Tarcy Coenen est un livre publié en 2009 chez Wiley et coûte 53$. 218 pages . Aucune bibliographie.

Le titre est trompeur, ce n’est pas un guide, ni un manuel donnant des étapes détaillées d’une enquête de fraude. En fait, c’est un ouvrage superficiel, une introduction, des explications courtes sur les types de fraude, une démarche tellement vague et peu précise que ce n’est pas un guide. Point.

Pourtant l’auteure est une spécialiste du domaine, elle e un site internet, un blogue mais partage très peu ses outils et ses trucs. C’est plutôt un ouvrage pour faire sa publicité et ne contient que des généralités.

Référence en juricomptabilité: Manuel de l’objection de Me Donald Béchard

Le manuel de l’objection de Me Donald Béchard, Yvon Blais éditeur  (2009) est un ouvrage de référence en droit. Cependant quelques sections de cet ouvrage sont forts utiles pour le témoin expert en juricomptabilité.Ceux traitant de la validité de la preuve, de la conservation de la preuve, l’interrogatoire au préalable et surtout, le témoignage de l’expert (pp.1103-1271). La section sur le témoignage de l’expert traite des articles du Code civil et du Code de procédure touchant les témoins experts. Une jurisprudence importante y est citée et donne aussi, les erreurs fréquentes des experts. Un plus, pour le juricomptable.

Référence utile pour l’évaluation d’une entreprise: Mastering Financial Modelling in Microsoft Excel.

Mastering Financial Modelling in Microsoft Excel  de Alistait L. Day, ed. Prentice Hall est un livre de référence pour l’utilisation du logiciel Excel pour faire de la modélisation financière. En évaluation d’entreprise, Excel est un outil incontournable étant donné la quantité d’informations financières à fournir dans un  rapport d’évaluation d’entreprise. Il y a beaucoup d’exemples et on explique assez clairement la modélisation des prévisions financières et la méthode d’actualisation des flux monétaires.

Edition 2007, environ 55 $.

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