Je lisais sur un blog un commentaire d’une personne en Algérie qui mentionnait qu’une gouvernance de la non-responsabilité mène à l’irresponsabilité. Il y a lieu de se poser de sérieuses questions sur la façon dont les administrateurs de sociétés publiques sont choisis. Ces personnes ne peuvent faire fi de leurs responsabilités ( exemple le CUSM) et se laver les mains de la mauvaise administration de l’ entité qu’ils administrent.
Allaire mentionne dans son article, L’éthique et la cupidité:
Or, ce qui caractérise la plupart des hommes et des femmes, hormis les saints et quelques héros, c’est le fait que cette résistance aux pressions de l’intérêt personnel n’est pas illimitée. Les individus ont tous un point de rupture des valeurs, un point de bascule entre l’intégrité et la cupidité….C’est ainsi qu’insidieusement la cupidité, faute d’un meilleur terme, en vient à infecter tout le système économique. Peu importe comment on nomme ce sentiment, il asperge d’acide les valeurs d’une société. Médecins, avocats, ingénieurs, architectes, électriciens, plombiers, artistes, professeurs, enseignants, infirmières, policiers, pompiers, tous ces gens qui jouent un rôle essentiel dans une société en viennent à ressentir une certaine rancœur envers un système de rémunération (comparativement) inéquitable et à développer, lorsque l’occasion se présente, une certaine tolérance envers des pratiques douteuses mais lucratives…..Il faut cesser de mesurer la valeur sociale d’un individu par sa fortune et son train de vie. Il faut redonner une place d’honneur à ceux qui travaillent au bien de la société pour de modestes récompenses monétaires. Il nous faut éviter de construire des systèmes d’incitatifs monétaires qui exercent d’énormes pressions sur l’éthique.
Référence: http://www.lesaffaires.com/blogues/yvan-allaire/allaire–lethique-et-la-cupidite/551930
Je pense que les administrateurs devraient avoir des “certificats” attestant de leurs compétences pour faire partie d’un conseil d’administration, de la connaissance de leurs devoirs et surtout de leurs responsabilités.
Le livre en évaluation d’entreprise: A Reviewer’s Handbook to Business Valuation- Practical Guidance to the Use and Abuse of Business Appraisal de L. Hood et T Lee, Wiley , 2011 me semblait, avant de l’acheter, intéressant. On mentionnait que c’était le seul livre écrit pour des évaluateurs et des avocats donc qu’il était différent. Il est tout à fait ordinaire.
Le livre Investigation financière et juricomptabilité – Guide de bonnes pratiques de Guylaine Leclerc, Emmmanuel Charrier et Manon Roy ( édité en 2012) est le seul livre de référence écrit en français sur la juricomptabilité selon les normes en vigueur et applicables au Québec.
Le livre de Patrick A. Gaughan ” Measuring Business Interruption Losses and Other Commercial Damages” sur l’évaluation des pertes dues à une interruption d’une entreprise et les dommages commerciaux est un excellent volume écrit par un spécialiste en économétrie. Habituellement les livres en évaluation d’entreprise et/ou quantification des dommages du point de vue quantitatif sont écrits par des comptables qui sont des experts en évaluation d’entreprise, ce qui fait que ce volume a une approche beaucoup plus technique en termes de modélisation et de statistiques.





Financial Modeling with Oracle est un livre dont la seconde édition vient d’être publiée en 2012. aux editions Wiley Finance.
Ce guide annuel est à sa 22 ième édition. Un outil de référence de 764 pages qui donne de l’information sur les prix de vente des entreprises en les classant selon leur code SIC ou NAICS.



